Le mot du Président

UNE VOCATION POUR UN DROIT

Selon les statistiques diffusées par divers organismes, nationaux et même onusiens,  Madagascar dispose de plus de jeunes avec sa population estimée à quelque vingt-trois millions.

Et divers efforts ont toujours été entrepris par différents acteurs pour former ces jeunes qu’on a toujours considérés comme les futurs dirigeants de ce pays qui aspire à son développement.

Et parmi ces efforts dispensés à nos jeunes, il y a sans nul doute, l’éducation au sens large du terme, incluant la formation.

L’éducation est universellement reconnue en tant que droit de chaque citoyen. Un droit qui permet aux jeunes d’assurer la relève face à un monde où le savoir est exigé avec l’évolution incessante de la technologie et la concurrence intensifiée par  la mondialisation.

Mais l’éducation est-elle réellement un droit ? Oui, théoriquement mais les réalités sont différentes.

Si le baccalauréat est défini comme premier grade universitaire, combien de nos jeunes bacheliers ont-ils pu s’inscrire auprès des campus d’Ankatso, de Barakadimy, d’Ambondrona ou d’Andrainjato ?

La surpopulation estudiantine n’a jamais permis à nos institutions publiques d’enseignement supérieur de satisfaire la demande. Et chaque année, le nombre de jeunes ayant le niveau… BAC + 0 ne cesse d’augmenter car ils n’ont pas eu la chance de rejoindre cette infime catégorie d’universitaires.

Et les diverses institutions privées d’enseignement supérieur arrivent à la rescousse des établissements publics.

Louable initiative mais dans un pays à faible pouvoir d’achat de la majorité de la population, les frais d’études restent un luxe superflu pour la grande majorité des foyers. Et le droit à l’éducation et à la formation du nouveau bachelier prend fin. L’ambition de poursuivre des études supérieures cède la place au niveau titre de bachelier-chômeur ou de travailleur indécent.

Et c’est de cet amer constat que nous avions pris l’initiative de fonder en 2005 une université qui offre à tous une égalité en droit et en chance de réaliser l’ambition de chaque bachelier : l’Université Privée de Madagascar ou UPRIM.

Par la fondation de l’UPRIM, nous avons lancé le défi de conjuguer une qualité des études de haut niveau avec la faiblesse du pouvoir d’achat de nos concitoyens.

La chance de pouvoir poursuivre et terminer les études supérieures ne devrait être l’apanage des nantis.

D’ailleurs, enseigner n’est pas un «business» comme le commerce ou toute autre activité à but lucratif. C’est plutôt une vocation. Une vocation qui ne se limite pas à la délivrance d’un diplôme mais allant jusqu’aux soucis de savoir et de prévoir les exigences toujours évolutives du marché de l’emploi.

Que l’apprenant ayant terminé ses études soit recruté par un employeur public ou privé, ou qu’il ambitionne de créer sa propre entreprise, nos formations ont été adaptées aux exigences du savoir-faire professionnel dans les cinq Mentions qui existent au sein de l’UPRIM : Gestion et Management, Commerce et Marketing, Droit, Communication et Paramédicale.

Et pour parvenir à cette ambition, nous avons à la fois formé et forgé nos apprenants à la créativité, au dynamisme, au respect des traditions, à l’esprit d’équipe, aux innovations, à l’indépendance et au leadership.

L’UPRIM, habilitée par l’Etat malagasy, délivre trois diplômes reconnus par le Ministère de la Fonction Publique : le Diplôme de Technicien Supérieur (Bac + 2), la Licence (Bac + 3) et le Master (Bac + 4).

Trois diplômes accessibles soit par la formation présentielle, soit par la formation à distance, encore une chance et un droit surtout pour ceux qui ont déjà des occupations professionnelles.

Et contexte oblige, l’UPRIM a intégré le nouveau système Licence-Master-Doctorat.

L’avenir n’est pas le produit du hasard. Il se prépare par des investissements d’aujourd’hui.

Investissez dans une valeur sûre, choisissez UPRIM.

 

Le Président-Fondateur de l’UPRIM,

 

RAKOTOVAOARISON Justin